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The price is worth it
Acher
Boulevard d'Avroy 28-30
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TO DO
Hilal Aydoğdu
100 Rue Saint-Gilles
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V – 150360/1 p. 204, 265, 266
Dóra Benyó
1 Féronstrée
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Fausse bonne nouvelle
Juan d’Oultremont
31b Rue de la Cathédrale
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Et fouisse toujours on trouvera bien
Gaspard Husson
18 Rue de l'Etuve
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La constellation du navire Argo
Sarah Illouz & Marius Escande
Hôtel de la Cour de Londres 40 Rue Hors-Château
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One Line (… Better Than On – line!)
Marin Kasimir
31a Rue de la Cathédrale
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Cityscape
Sarah Lauwers
29 Rue de l'Université
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Traversées
Alexiane Le Roy
3 Rue de la Cathédrale
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Mécanique d’un mur
Raphaël Maman
9 Passage Lemonnier
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Vapeurs
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Don’t cry over spilllllled tears anymore
Francisca Markus
7 Rue Saint-Remy
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On ne peut rien faire d’autre que tenir debout
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Oya
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Le vestiaire
Camille Peyré
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Leïla Pile
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Chronique florale
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Bo Stokkermans
Passage Lemonnier, 37-39
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17 Rue des Croisiers
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Je m’organise…
Leen Vandierendonck
159 Féronstrée
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Regarde… ce qu’il se passe à côté
Sculpture/Peinture B3 ESA Liège Melissa Andreia Alves ...
137-139 Féronstrée
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Paolo Gasparotto
25 Rue Saint Paul
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Firn – Magnified
#5
Dina Dressen
Artiste sélectionnée dans le cadre de l'appel à projets
1024 Rue du Rêwe
Dina Dressen est une artiste visuelle installée à Maastricht. Son travail s’articule autour du dessin, de l’estampe et de l’installation. Elle utilise des matériaux simples tels que l’encre de Chine, l’eau, le papier ou la toile pour créer son propre univers visuel d’une grande complexité. Elle a tendance à mettre en œuvre des techniques qui imitent les procédés chimiques et géologiques, comme l’absorption, la sédimentation et l’écoulement de surface. Ces techniques résonnent dans les intitulés de ses œuvres et justifient les textures naturelles de celles-ci : la rugosité de la pierre, le caractère graveleux du sable, la douceur de l’eau.
Au début de sa carrière artistique, Dina Dressen explorait la photographie analogique et l’influence de celle-ci se voit toujours actuellement, dans sa fascination pour la fluidité ainsi que la palette de noir et blanc, les contrastes marqués et la nature granuleuse de ses œuvres. Telle une photographe, Dina Dressen fait jaillir ses œuvres de l’obscurité mais au lieu de plonger le film dans le révélateur photographique, elle immerge ses matériaux dans un mélange d’encre et d’eau.
Le studio de Dina Dressen est un espace d’expériences illimitées avec différentes variables relatives au matériau, au temps, à l’espace et au hasard. Elle laisse son travail se faire guider par ces variables et se développer organiquement par la répétition et la superposition mais aussi la déviation. Pour elle, créer c’est avant tout une expérience sans fin apparente. Au cours de celle-ci, l’intention et l’heureux hasard jouent tous deux un rôle primordial. Ils mettent en avant la singularité de chaque œuvre et simultanément un sentiment d’unité.