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Cristina Mirabilis
Académie des Beaux-Arts de Catane
137-139 En Féronstrée
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SpringMerz
Marion Voegelé
31a Rue de la Cathédrale
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Wafel de Liège
Jannes Lambrecht & Mirthe Vermunicht
100 Rue Saint-Gilles
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Signing To A Spitting Image
Rémie Vanderhaegen
6 Rue Gérardrie
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A Fragile Relationship In A Sturdy Façade
Jeannette Slütter
11 Rue de Bex
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Chambre, vue
Pierre-Alain Poirier
14 Rue de la Sirène
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Midnight Leaves
Bettina Marx
28-30 Boulevard d'Avroy
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Gravats
Lucile Marsaux & Théo Philippot
107 En Féronstrée
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Ambient, Aberrant
Sonia Mangiapane
7b Rue des Carmes
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Avis de tempête
Camille Lemille
159 En Féronstrée
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An Enchanted Break
Cristina Lavosi
9 Rue de la Violette
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Du béton du métal dont sont faites vos parois
Anaïs Lapel
1 En Féronstrée
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Cathédrale
Axel Janssen
16 Rue du Palais
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Always Stuff, Four Blue Office Chairs
Gilles Hellemans
32 Rue de la Régence
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Figure
Bruce Formanoie
100 Rue de la Cathédrale
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Étendue 02
Elisa Florimond
85 Rue de la Cathédrale
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L’été sera brûlant
Sarah Feuillas
3 Rue de la Cathédrale
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No, no ! Only as fast as possible without stress
Jan Duerinck
44 Rue Saint-Gilles
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Carpeaux
Patrick Corillon
25 Rue Saint Paul
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Traveling Tales
Tamuna Chabashvili
40 Rue Hors-Château
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Double exposition
Bertrand Cavalier & Fabien Silvestre Suzor
31b Rue de la Cathédrale
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WELCOMCOM
Ondine Bertin
4 Rue de la Cathédrale
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Leakage
Yasmina Assbane
5 Rue Chéravoie
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Onsite Website : The Official Emoji Shop
Éloïse Alliguié
29 Rue de l'Université
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Les menuires grandes
#8
Massimo Vitali
OEuvres de la Collection Uhoda
19125 Rue Saint Paul
Suite aux changements politiques radicaux survenus en Italie au début des années 1990, le photographe Massimo Vitali commence à observer ses compatriotes qui tentent d’échapper aux restrictions sociales et économiques de l’époque durant leurs moments de loisir. Dans l’oisiveté de leurs instants de vacances, le photographe immortalise les Italiens qui se prélassent sur les plages, dévalent les pistes de ski ou font la fête dans les discothèques. Qu’importe la thématique, la technique de prise de vue de l’artiste reste la même. Perché sur une estrade à quatre mètres de hauteur, il observe les histoires se dérouler et s’enchevêtrer en contre-bas et patiente jusqu’au moment qu’il juge opportun pour déclencher l’appareil. Massimo Vitali invite ensuite le spectateur à parcourir du regard ces images fourmillantes afin qu’il découvre, sans cesse, un nouveau détail sur lequel s’attarder.