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The price is worth it
Acher
Boulevard d'Avroy 28-30
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TO DO
Hilal Aydoğdu
100 Rue Saint-Gilles
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V – 150360/1 p. 204, 265, 266
Dóra Benyó
1 Féronstrée
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Fausse bonne nouvelle
Juan d’Oultremont
31b Rue de la Cathédrale
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Et fouisse toujours on trouvera bien
Gaspard Husson
18 Rue de l'Etuve
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One Line (… Better Than On – line!)
Marin Kasimir
31a Rue de la Cathédrale
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Traversées
Alexiane Le Roy
3 Rue de la Cathédrale
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Mécanique d’un mur
Raphaël Maman
9 Passage Lemonnier
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5 Rue Chéravoie
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Don’t cry over spilllllled tears anymore
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Maxence Mathieu
56 Rue Saint-Gilles
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On ne peut rien faire d’autre que tenir debout
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85 Rue de la Cathédrale
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22 empans et 1 palme
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Adrien Mans Benjamin Ooms
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Je m’organise…
Leen Vandierendonck
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Paul Waak
16 Rue du Palais
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Regarde… ce qu’il se passe à côté
Sculpture/Peinture B3 ESA Liège Melissa Andreia Alves ...
137-139 Féronstrée
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Pauvre petit belge qui tremble
Paolo Gasparotto
25 Rue Saint Paul
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#14
Maxence Mathieu
Commissaire : Sophie Delhasse
33856 Rue Saint-Gilles
Maxence Mathieu nous apostrophe en posant un livre à même la vitre. En tension, la couverture de l’ouvrage souligne le seuil (in)franchissable de l’espace et le point de départ d’une ligne de fuite qui nous entraîne à l’intérieur, poussant l’œil à l’arrière-plan, en coulisse. Papillonnant d’une structure métallique à l’étincelle douce du néon, nous voilà absorbés.
En y regardant de plus près, le point de mire nous amène à dépasser la percée et questionner le fond visible bien que caché. On pourrait se questionner si, en tentant de guider notre regard, l’artiste ne nous attirerait pas à regarder à côté ou à reconsidérer l’ensemble de la scène qui se construit sous nos yeux. Il y a une ambiance, une atmosphère qui nourrit la perception d’un espace fictif, comme un ancien souvenir, et pourtant bien ancré dans le réel puisque devant nous. Et puis il y les détails que l’artiste distille comme on construit une partition. La couleur du néon, la tension du plan, la position de la structure chromée, l’apparence de celle-ci rappelant les constructions scénographiques de spectacles, et enfin il y a ce petit bouquin. Un livre de poche dont l’auteur est Erving Goffman et dont le titre peut attiser le sourire : La mise en scène de la vie quotidienne. Effet miroir, mise en abyme, projection, voilà la scène qui se peuple de ses acteurs. « Le spectateur hésite à entrer. En réalité, il est déjà à l’intérieur. […] l’œuvre requiert sont corps. Elle le pousse à entrer en scène, lui aussi. »[1] Alors Actions !
[1]
[1] Simon Brunfaut, Un paradis presque perdu, Edition du Secteur des Arts Plastiques du Hainaut, 2017.