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The price is worth it
Acher
Boulevard d'Avroy 28-30
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TO DO
Hilal Aydoğdu
100 Rue Saint-Gilles
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V – 150360/1 p. 204, 265, 266
Dóra Benyó
1 Féronstrée
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Fausse bonne nouvelle
Juan d’Oultremont
31b Rue de la Cathédrale
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Et fouisse toujours on trouvera bien
Gaspard Husson
18 Rue de l'Etuve
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La constellation du navire Argo
Sarah Illouz & Marius Escande
Hôtel de la Cour de Londres 40 Rue Hors-Château
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One Line (… Better Than On – line!)
Marin Kasimir
31a Rue de la Cathédrale
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Cityscape
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29 Rue de l'Université
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Traversées
Alexiane Le Roy
3 Rue de la Cathédrale
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Mécanique d’un mur
Raphaël Maman
9 Passage Lemonnier
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Vapeurs
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5 Rue Chéravoie
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Don’t cry over spilllllled tears anymore
Francisca Markus
7 Rue Saint-Remy
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Maxence Mathieu
56 Rue Saint-Gilles
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On ne peut rien faire d’autre que tenir debout
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113 Rue de la Cathédrale
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Travel Local, Buy Local
Oya
107 Féronstrée
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Le vestiaire
Camille Peyré
85 Rue de la Cathédrale
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22 empans et 1 palme
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75 Rue Hors-Château
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Chronique florale
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101 Féronstrée
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Open closet archive 1995/2021/2023/2024
Bo Stokkermans
Passage Lemonnier, 37-39
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Leen Vandierendonck
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Paul Waak
16 Rue du Palais
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Regarde… ce qu’il se passe à côté
Sculpture/Peinture B3 ESA Liège Melissa Andreia Alves ...
137-139 Féronstrée
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Pauvre petit belge qui tremble
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25 Rue Saint Paul
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![](https://artaucentre.be/wp-content/uploads/2022/04/Dilum-Coppens-2-745x1024.jpg)
ACDC
#4
Dilum Coppens
Commissaire: Arthur Cordier
7331a Rue de la Cathédrale
Arthur Cordier : j’espère que vous allez bien. Je suis très heureux de travailler ensemble sur cette exposition. Nous nous sommes rencontrés au K.L.8, un espace d’exposition que vous avez cofondé à Bruxelles. Ce qui m’a frappé d’emblée, c’était la taille des toiles en contraste avec la hiérarchie nonchalante des images que vous utilisez. Pourriez-vous nous présenter votre pratique ?
Dilum Coppens : j’aime envisager le tableau comme une tablette d’argile dont certaines parties ont disparu, quelque part dans l’histoire, tandis que d’autres parties montrent les restes subtils de ce qui a jadis été représenté. Je cherche à créer des reliques avec un genre de connaissance et de mythologie qui est tombé en désuétude mais qui véhicule quelque chose de contemporain. L’œuvre Statements on the inertial energy of the Sun est l’archétype de cette pratique. Les images véhiculent une signification bien précise : un endroit que j’ai trouvé fascinant, un souvenir ou une anecdote allégorique. Mon souhait est de faire référence subtilement à l’amour, à Aphrodite ou à la science derrière la lumière, le soleil et son énergie.
A.C : l’oiseau picorant sa nourriture sur le soleil est une image magnifique. Je l’ai perçue comme étant une combinaison de l’étendue de l’humanité – des planètes et leur rotation – et l’équilibre plutôt vacillant et localisé des choses, des oiseaux se nourrissant de fruits et de fleurs. D’une manière ou d’une autre, vous les associez. Comme vous l’avez déclaré, c’est sujet et ouvert à l’interprétation. Cela pourrait ressembler à une association hasardeuse mais cela les décrit comme étant des parties des systèmes dans lesquels nous vivons. Les saisons s’enchainent pour une bonne raison. Et les fleurs éclosent.
D.C : j’ai entamé une série d’œuvres qui traitent de la solitude, comme étant un état aussi bien désirable qu’effrayant. Je me suis récemment retrouvé aux deux extrémités de ce spectre. J’ai pensé qu’il serait intéressant de montrer ces tableaux. Mon travail s’articule autour de ruines mythologiques et je tente de saisir cette sensation avec la matérialité. Je pense qu’il s’agit avant tout de déplacer l’œuvre sur place et de travailler avec l’espace.