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Histoires simples
Les élèves de Léopold Mottet 1
107 Féronstrée
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Qu’est-ce-qui se trame ici ?
Centre André Baillon
1 Féronstrée
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Night Walk
Maria Chiara Ziosi
85 Rue de la Cathédrale
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Thy Cities Shall With Commerce Shine — Part II
Hattie Wade
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La Maison Panure – Fève des rois
JJ von Panure
21 Pont d'Île
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MANTERO
Santiago Vélez
4 Rue de la Cathédrale
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Mobile Écriture Automatique
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109 Rue de la Cathédrale
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ST END
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10 Rue Nagelmackers
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ALREADYMADE n° 3 : Empty Cart or Cardboard Cybertruck
M.Eugène Pereira Tamayo
18 Rue de l'Etuve
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Centre de remise en forme (économie de guerre)
Werner Moron
7 Rue de l'Official (Îlot Saint-Michel)
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Sun(set)(Seed)
Matthieu Michaut
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precarity of non-human entities
Gérard Meurant
98 Rue de la Cathédrale
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S’aligne, l’inconnue sans lecture
Julia Kremer
40 Rue Hors-Château
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Autumn Collages
Ívar Glói Gunnarsson Breiðfjörð
30 Rue de la Cathédrale
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Rōt Rot Rôt
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28 Rue des Carmes
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Pierre ventilée
Daniel Dutrieux
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Peephole
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31a Rue de la Cathédrale
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Room Eater
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Behind the Curtain
Francesca Comune
31b Rue de la Cathédrale
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COMMENT
Kim Bradford
16 Rue du Palais
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Pedro Camejo (série Diaspora)
Omar Victor Diop
25 Rue Saint Paul
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L’impasse de la vignette, dans le temps et dans l’espace
Michel Bart et Mathias Vancoppenolle
75 Rue Hors-Château
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Opéra-savon, épisode 1 : L’ Aquarium-Museum
Clara Agnus
20 Rue de la Sirène
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Kodomo No Kuni
#16
Mey Semtati
Artiste sélectionnée dans le cadre de l’appel à projets
39218 Rue de l'Etuve
Kodomo No Kuni est le nom d’un parc pour enfants situé entre Tokyo et Yokohama qui signifie « le pays des enfants ».
Il est agréable de spatialiser une époque de notre vie. L’extraire du flot du temps pour en faire une entité à part, un corps distinct de celui que l’on incarne à l’âge adulte. C’est pour ça que l’on idéalise toujours l’enfance en un territoire ludique, où les seules couleurs qui existent sont les couleurs primaires, et les seules formes sont le triangle, le rond et le carré. Un monde simple, fertile de tous les possibles.
Mais l’aire de jeux dont je me souviens a été détruite par une explosion du parking souterrain qui s’y trouvait. Et, bien que cela soit regrettable, cela semble offrir une vision plus juste du «pays des enfants» : il est en ruine, tout est gris et délavé, et on ne se souvient plus la dernière fois que des enfants y ont joué.
L’enfance c’est la clef de l’identité. Il semble plus sage de la garder dans sa poche pour s’imaginer ce qu’il y a derrière la porte, plutôt que de se résoudre à l’ouvrir.