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One Line (… Better Than On – line!)
#14
Marin Kasimir
Commissaire : Sandrine Bouillon
33231a Rue de la Cathédrale
D’abord un dessin, dans un petit carnet, puis un dessin dans l’espace, un dessin en acier ou une autre matière, un dessin géométrique et matérialisé en trois dimensions, une ligne continue, une seule ligne ininterrompue et 36 fois pliée, une longue ligne pliée régulièrement et perpendiculairement dans l’espace, une ligne créant un espace : une sculpture.
Cette sculpture suggère des murs, un sol, des portes et un mouvement.
C’est clairement un objet à regarder, et le regard la maîtrise, cette sculpture. Elle suggère aussi d’être agrandie, jusqu’à ce que l’on puisse la traverser. Changer l’échelle ne lui donne pas seulement d’autres dimensions, mais aussi et surtout un autre statut.
Si elle est pénétrable, traversable, contournable, elle n’est quand même pas utilisable, au moins pas dans un sens direct, cette espèce de porte à tambour ne tourne pas, on ne peut pas se cacher derrière un mur et on ne peut pas fermer les portes : elles restent du domaine de la métaphore, des portes ouvertes, dans tous les sens.
Vu de loin, c’est aussi une image.
Les gens à l’intérieur de l’œuvre font partie de cette image, sans pour autant y participer. Cette grande sculpture qui, en fait, n’est plus une sculpture mais qui n’est pas encore une architecture, suggère aussi des scénarios à inventer, pour connaisseurs ou amateurs, pour adultes ou enfants.
Une scène pour théâtre, danse, pantomime ou toute sorte de jeu… Au public de décider.