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Histoires simples
Les élèves de Léopold Mottet 1
107 Féronstrée
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Qu’est-ce-qui se trame ici ?
Centre André Baillon
1 Féronstrée
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Night Walk
Maria Chiara Ziosi
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Thy Cities Shall With Commerce Shine — Part II
Hattie Wade
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La Maison Panure – Fève des rois
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21 Pont d'Île
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MANTERO
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ALREADYMADE n° 3 : Empty Cart or Cardboard Cybertruck
M.Eugène Pereira Tamayo
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Centre de remise en forme (économie de guerre)
Werner Moron
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Sun(set)(Seed)
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precarity of non-human entities
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S’aligne, l’inconnue sans lecture
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Ívar Glói Gunnarsson Breiðfjörð
30 Rue de la Cathédrale
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Rōt Rot Rôt
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28 Rue des Carmes
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Pierre ventilée
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Peephole
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31a Rue de la Cathédrale
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Room Eater
Jorge de la Cruz
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Behind the Curtain
Francesca Comune
31b Rue de la Cathédrale
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COMMENT
Kim Bradford
16 Rue du Palais
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Pedro Camejo (série Diaspora)
Omar Victor Diop
25 Rue Saint Paul
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L’impasse de la vignette, dans le temps et dans l’espace
Michel Bart et Mathias Vancoppenolle
75 Rue Hors-Château
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Opéra-savon, épisode 1 : L’ Aquarium-Museum
Clara Agnus
20 Rue de la Sirène
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Lendemain de manifestation
#12
Juliette Vanwaterloo
Artiste sélectionnée dans le cadre de l’appel à projets
297141 En Féronstrée
Les vitrines brisées durant les manifestations laissent imaginer la violence des affrontements. Cette violence donne aux manifestant.e.s un espace pour remettre en question la légitimité de la violence institutionnelle, trop souvent ignorée et donnant à la violence des foules de quoi se nourrir. La violence répressive naît de cet enchaînement et alimente mon travail plastique depuis quelques années. Après chaque manifestation, chaque événement, des réactions de désolément virulent et circulent en ligne à l’égard de ces débordements. Non seulement exprimées par des esprits conservateurs, elles sont aussi relayées par des manifestant.e.s qui reprochent cette violence « gratuite » nuisant au pacifisme des manifestations. Ces pensées occultent totalement le fait que ces débordements suivent le cours logique des choses, ils ne sont que le fruit pourri d’une violence beaucoup plus grande et subtile, la violence institutionnelle. Considérer ces mécanismes de réaction comme des actes desservant la cause et la lutte, c’est occulter les mécanismes d’oppression de ces institutions. Condamner ces actes comme étant seule violence de ces soulèvements, c’est se rendre complice du système, en jugeant que cette violence matérielle est plus insoutenable que la violence et le mépris de ces institutions patriarcales, sexistes, racistes, homophobes et xénophobes.