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Les élèves de Léopold Mottet 1
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Qu’est-ce-qui se trame ici ?
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Thy Cities Shall With Commerce Shine — Part II
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La Maison Panure – Fève des rois
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L’impasse de la vignette, dans le temps et dans l’espace
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Opéra-savon, épisode 1 : L’ Aquarium-Museum
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SANS TITRE
#1
Benjamin Ottoz
Commissaire: La peau de l’ours
16Îlot Saint-Michel
Benjamin Ottoz n’hésite pas à manipuler la couleur, la confronter à d’autres, les faire dialoguer. Ce que l’on croyait organique prend des allures minérales, ce que l’on imaginait dessiné se dévoile comme une empreinte. Benjamin Ottoz ne cesse de nous surprendre, de brouiller les pistes de la perception et les frontières des médiums.
Mais, il ne faut pas prendre ce que l’on voit sur le papier pour quelque chose de figé. Ces travaux évoquent le mouvement, l’induisent même. Impossible de saisir l’ensemble du dessin sans se déplacer. Bouger de gauche à droite, dans un mouvement à peine perceptible. Saisir la lumière qui se pose ici et là qui fait apparaître puis s’évanouir les froissements, l’image. Comme une chorégraphie dans laquelle la poussière d’argent se met à vibrer sous les rayons de la lumière. Une chorégraphie minimale et involontaire entre le regardeur et l’œuvre.
Vibrations évanescentes — voilà peut-être les termes qui permettent le mieux de décrire ce que l’on perçoit des œuvres de Benjamin Ottoz. Car ici, il est question de vibrations, de poussière, de perception et de réflexion.