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AFFICHE_CVG_M1_V18_OK_BON_FINAL_VRAIMENT_LAST
Étudiants de l’ESA Saint-Luc Liège Master 1 en Communica...
107 En Féronstrée

S’entrouvrir
#8
Laure Forêt
Commissaire: Marjorie Ranieri
18529 Rue de l'Université
À partir d’un camaïeu de couleurs allant du blanc laiteux au rouge sang, Laure Forêt travaille différentes textures et matériaux (verre, métal, tissu, etc.) pour suggérer des formes organiques. Son travail de plasticienne questionne le corps à la frontière de l’intime et du public, du visible et de l’invisible. Le corps comme lieu de souffrance et de jouissance. La peau comme un paysage à explorer à travers un voyage intime dans l’être.
L’installation S’entrouvrir évoque un paysage épidermique qui s’entrouvre ou se referme. La peau s’incarne dans la superposition de plaques de verres Tiffany tandis que la chair se donne à voir dans le cramoisi d’un velours dévoré. Elle est à la fois une barrière, une protection contre l’extérieur mais aussi une zone de contact avec l’intérieur, une parcelle d’intimité. Elle est porteuse de familiarité à travers une odeur, un souvenir mais peut aussi devenir une frontière à ne franchir.
Les couches épidermiques sont semblables à des couches géologiques. Elles dissimulent un monde intérieur comparable à la richesse d’un sol. Le verre parfois opalescent, parfois transparent, prend diverses significations. Délicat et translucide, il se déploie comme une membrane qui peut plier ou s’étirer mais aussi, fissurer et casser.
La plaie ouverte se dévoile alors timidement. La faille laisse apercevoir des blessures intérieures tout en essayant de les dissimuler.