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Cristina Mirabilis
Académie des Beaux-Arts de Catane
137-139 En Féronstrée
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SpringMerz
Marion Voegelé
31a Rue de la Cathédrale
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Wafel de Liège
Jannes Lambrecht & Mirthe Vermunicht
100 Rue Saint-Gilles
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Signing To A Spitting Image
Rémie Vanderhaegen
6 Rue Gérardrie
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A Fragile Relationship In A Sturdy Façade
Jeannette Slütter
11 Rue de Bex
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Chambre, vue
Pierre-Alain Poirier
14 Rue de la Sirène
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Midnight Leaves
Bettina Marx
28-30 Boulevard d'Avroy
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Gravats
Lucile Marsaux & Théo Philippot
107 En Féronstrée
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Ambient, Aberrant
Sonia Mangiapane
7b Rue des Carmes
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Avis de tempête
Camille Lemille
159 En Féronstrée
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An Enchanted Break
Cristina Lavosi
9 Rue de la Violette
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Du béton du métal dont sont faites vos parois
Anaïs Lapel
1 En Féronstrée
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Cathédrale
Axel Janssen
16 Rue du Palais
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Always Stuff, Four Blue Office Chairs
Gilles Hellemans
32 Rue de la Régence
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Figure
Bruce Formanoie
100 Rue de la Cathédrale
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Étendue 02
Elisa Florimond
85 Rue de la Cathédrale
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L’été sera brûlant
Sarah Feuillas
3 Rue de la Cathédrale
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No, no ! Only as fast as possible without stress
Jan Duerinck
44 Rue Saint-Gilles
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Carpeaux
Patrick Corillon
25 Rue Saint Paul
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Traveling Tales
Tamuna Chabashvili
40 Rue Hors-Château
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Double exposition
Bertrand Cavalier & Fabien Silvestre Suzor
31b Rue de la Cathédrale
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WELCOMCOM
Ondine Bertin
4 Rue de la Cathédrale
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Leakage
Yasmina Assbane
5 Rue Chéravoie
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Onsite Website : The Official Emoji Shop
Éloïse Alliguié
29 Rue de l'Université
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Murals 1&2
#10
Louis Randhaxe
Artiste sélectionné dans le cadre de l’appel à projets
2427B Rue des Carmes
Construit dans le cadre de l’Exposition Universelle de Belgique de 1935, le pavillon du Grand-Duché du Luxembourg était composé de deux bâtiments distincts. Si le premier accueillait la partie officielle de l’exposition, le deuxième fût conçu en trois parties destinées à la dégustation des boissons luxembourgeoises. Les murs y étaient ornés de bas-reliefs de sculpteurs grand-ducaux. Les sujets évoqués faisaient la part belle aux pratiques séculaires de la région, à la culture et à l’agriculture. Les visiteurs, souvent éméchés, confondaient les protagonistes des scènes de vies représentées avec des figures mystiques du folklore luxembourgeois.
De cette époque, naît l’idée que les bas-reliefs, dans leurs évocations de la vie courante, sont chargés de pouvoir mystique sur l’imaginaire collectif. D’un lien irrationnel entre la tribu, plaisir et sentiments les plus spirituels.
Pour Art au Centre #10, l’artiste Louis Randaxhe (1998, né et vit à Liège) présente une installation de deux bas-reliefs dont les sujets et ornementations, liés au plaisir et aux pratiques populaires, sont directement tirées de cette légende. Son travail s’inscrit dans un champ de recherche graphique et iconographique. Il s’essaie à des techniques variées en amateur sur des matériaux bruts ou issus de récupération. Une attention particulière est portée aux pratiques de détournement et d’appropriation domestique semblable à celles issues du DIY. L’hybridation des motifs, techniques et matériaux opérant à différentes échelles de son travail, permet autant d’aller-retour entre ses référents, sa pratique de la technique et le décloisonnement de son vocabulaire.