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LOG 1 : SAUVE-GARDES
#9
Paul Cottet
Artiste sélectionné dans le cadre de l’appel à projets
20315 Rue Saint-Gilles
Paul Cottet Dumoulin développe une pratique à la puissance résolument science-frictionnelle : grattée parmi les débris épars du temps présent, elle irrite notre appréhension d’un futur radicalement proche. Inspirées de l’environnement urbain et teintées au filtre d’un imaginaire nourri à la littérature d’anticipation, les œuvres de cet artiste, diplômé de l’École européenne supérieure des beaux-arts de Bretagne en 2018, trahissent une attitude ambivalente face au contemporain. En premier lieu, c’est l’image brouillée de braises ardentes qui s’impose et subsiste, rémanente. […]
Marie Chênel critique d’art pour DDAB, décembre 2020.
Un décor d’épines encadre un monde cryptique.
Au centre, des sculptures, contrefaçons de ce qu’on attendrait d’une sculpture antique. Devenues surface d’incrustation d’une chronique évoquant un récit fantastique d’un objet vivant, voyageant à travers le temps et l’espace. Portant l’imaginaire vers une civilisation disparue, sûrement inexistante. On y découvre un récit d’émancipation, dans un monde où les barrières du corps et du non-vivant se délitent, on aperçoit des lumières vibrantes comme des souvenirs encore flous, un banc de sable noir comme terre promise.
Chaque œuvre renvoie à quelque chose qui n’est pas encore passé. Avec des thèmes comme l’archéologie futuriste, ces matériaux bien de notre époque viennent encrasser son image anachronique. Entre ces sculptures faussement antiques, ces néons tremblotant et formant une composition au briquet. (La technique vient des souvenirs passés à brûler le temps, s’essayant aux écritures en feu sur les plafonds des abris-bus et/ou toilettes du collège.) Et le court métrage réalisé sous logiciel 3d à partir d’un scan photogrammétrique des sculptures, propose un témoignage sur le récit d’un voyage astral mis en image une nouvelle fois par un collage incongru amenant une porosité entre deux mondes aux barrières qui se fissurent.
Un récit interconnecté se forme alors, créant une mythologie parallèle à nous. Une sauvegarde, celle d’un espace ou d’un temps non-défini.